Saint-Max
Encyclopedia
Saint-Max semblerait remonter aux premiers temps de la conquête de la Gaule par les Romains : le Chemin stratégique s'appelait autrefois "Chemin des Romains". Il traverse "La Gueule le Loup" et jusqu'au Plateau de Malzéville. Il menait probablement à un camp entouré de fossés et de talus puisque des vestiges (murs) ont été retrouvés au dessus de la Trinité, ainsi que les médailles, fibules et tombeaux.
Au Moyen-Age, Saint-Max, Essey et Dommartemont sont groupés en une seigneurie, le village d'Essey étant le plus important des trois.
Pendant plusieurs siècles, Saint-Max aura l’aspect d’un petit village dont les habitations sont groupées pour la plupart autour de l’église Saint-Médard, quelques maisons se situant un peu à l’écart, au pont d’Essey.
Toutefois, au XVIè siècle, Saint-Max a la renommée de fournir un excellent vin gris fort apprécié à la cour de Lorraine.
En 1866, la localité compte 430 habitants. (On en recense aujourd’hui 10 000 dans la cité qui s’est urbanisée tout en prenant soin de son patrimoine).
En 1871, la signature du Traité de Francfort va tracer certaines lignes de la destinée de la localité.
En effet, ce traité privant la France d’une partie des départements de la Moselle et de la Meurthe provoque un afflux de population vers la Lorraine restée française et notamment sur Nancy dont le considérable effort démographique rejaillit sur les villages proches qui deviennent alors des communes de banlieue.
Château du Pont de la Meurthe
Un autre facteur va concourir au développement économique et démographique de la cité maxoise : l’implantation d’industries à proximité (Nordon, Fruhinsholz, Daum …) dans les bas quartiers de Nancy, le long de la voie ferrée et du canal.
De 430 habitants en 1866, la population de Saint-Max est passée à près de 3000 âmes en 1911. Autour de la nouvelle avenue Carnot et de la nouvelle église Saint-Livier dont la mise en chantier avait commencé en 1883 se crée un quartier qui deviendra l’actuel centre-ville.
Cet essor se poursuit malgré la Première Guerre mondiale et durant l’entre-deux-guerres.
De nouvelles rues et de nouveaux quartiers sont bâtis à la faveur des premières mesures prises par les gouvernements de l’époque, encourageant la construction de maisons d’habitation.
La population atteindra 12 489 habitants en 1968.
Ce sera le maximum, car le territoire de la commune est réduit et il est presque entièrement construit.
Administrativement, Saint-Max est le chef-lieu du canton de Saint-Max, et fait partie de la 2è circonscription de Meurthe et Moselle : Vandoeuvre-Saint-Max. Depuis 1996, elle fait partie de la Communauté urbaine du Grand Nancy aux côtés de 19 autres communes.
Sa superficie est de 185 hectares.
Au Moyen-Age, Saint-Max, Essey et Dommartemont sont groupés en une seigneurie, le village d'Essey étant le plus important des trois.
Pendant plusieurs siècles, Saint-Max aura l’aspect d’un petit village dont les habitations sont groupées pour la plupart autour de l’église Saint-Médard, quelques maisons se situant un peu à l’écart, au pont d’Essey.
Toutefois, au XVIè siècle, Saint-Max a la renommée de fournir un excellent vin gris fort apprécié à la cour de Lorraine.
En 1866, la localité compte 430 habitants. (On en recense aujourd’hui 10 000 dans la cité qui s’est urbanisée tout en prenant soin de son patrimoine).
En 1871, la signature du Traité de Francfort va tracer certaines lignes de la destinée de la localité.
En effet, ce traité privant la France d’une partie des départements de la Moselle et de la Meurthe provoque un afflux de population vers la Lorraine restée française et notamment sur Nancy dont le considérable effort démographique rejaillit sur les villages proches qui deviennent alors des communes de banlieue.
Château du Pont de la Meurthe
Un autre facteur va concourir au développement économique et démographique de la cité maxoise : l’implantation d’industries à proximité (Nordon, Fruhinsholz, Daum …) dans les bas quartiers de Nancy, le long de la voie ferrée et du canal.
De 430 habitants en 1866, la population de Saint-Max est passée à près de 3000 âmes en 1911. Autour de la nouvelle avenue Carnot et de la nouvelle église Saint-Livier dont la mise en chantier avait commencé en 1883 se crée un quartier qui deviendra l’actuel centre-ville.
Cet essor se poursuit malgré la Première Guerre mondiale et durant l’entre-deux-guerres.
De nouvelles rues et de nouveaux quartiers sont bâtis à la faveur des premières mesures prises par les gouvernements de l’époque, encourageant la construction de maisons d’habitation.
La population atteindra 12 489 habitants en 1968.
Ce sera le maximum, car le territoire de la commune est réduit et il est presque entièrement construit.
Geography
La ville de Saint-Max est située au nord-est de la France, dans la banlieue de Nancy, à 48° de latitude nord, sur le versant sud du Plateau de Sainte-Geneviève, entre le Plateau de Malzéville et la rivière de la Meurthe. Ses communes limitrophes sont les suivantes : Nancy, Essey-lès-Nancy, Tomblaine, Dommartemont et Malzéville.Administrativement, Saint-Max est le chef-lieu du canton de Saint-Max, et fait partie de la 2è circonscription de Meurthe et Moselle : Vandoeuvre-Saint-Max. Depuis 1996, elle fait partie de la Communauté urbaine du Grand Nancy aux côtés de 19 autres communes.
Sa superficie est de 185 hectares.